Avis d’un lecteur (pseudo : Fandol) sur Babelio sur A jamais et de tous temps :
Dans un style soigné et très agréable à lire, Charlotte Boyer intrigue d’abord puis capte l’intérêt de son lecteur, mettant en place un climat où la douceur et le danger se côtoient sans cesse. Dans ce livre, « A toi de voir » est une nouvelle très originale puisqu’elle se déroule en cinq actes, comme une tragédie. Hésitations, espoirs, craintes et doutes agitent son esprit : « La seule chose qui me réchauffait, c’était les larmes qui commençaient à monter… C’est peut-être notre coeur qui nous fait voir les choses sous une certaine forme… Non ça ne peut pas être, je n’ai plus de coeur ! » Ou encore, après avoir observé des couples semblant heureux, dans la rue : « La Terre s’était arrêtée de tourner pour moi et chacun semblait heureux de la position dans laquelle elle se trouvait. » le couple se retrouve mais la fin est tragique. Charlotte Boyer termine par une réflexion sur la vie, sur le destin de chacun sur cette terre. L’auteur manie habilement la poésie et la réalité, mettant en scène des sentiments qui lui sont propres ou qui, tôt ou tard, ont traversé ou traverseront notre esprit. A la fin du livre, le lecteur découvre une suite. On sent que la tentation du roman démange l’auteur. Beaucoup d’ingrédients sont déjà là. Il ne lui reste qu’à sauter le pas…
Avis d’un lecteur (pseudo : Fandol) sur Babelio à propos de Adrien Poche
Petit à petit, Charlotte Boyer glisse vers le roman mais « Adrien Poche » est encore qualifié de nouvelle parce que l’histoire est courte. C’est vite lu, vite dégusté et c’est un régal qui peut s’apprécier une, voire plusieurs fois.
Quand le lieutenant Tarmé donne d’office un mois de vacances à Adrien, simple et policier qui espère devenir inspecteur, celui-ci n’en croit pas ses oreilles. Ses rêves de Californie vont pouvoir se réaliser parce qu’il débarque peu après à Glen Elen au Jack London Lodge, un motel où les gens et l’ambiance sont de plus en plus bizarres. L’intrigue se noue rapidement autour d’un meurtre et de notre Adrien qui joue parfaitement l’idiot tout en faisant preuve de beaucoup de courage. Nous n’en dirons pas plus pour ne pas gâcher votre plaisir de lire Charlotte Boyer, jeune auteure au style très agréable et qui n’ a pas fini de nous étonner.
Une critique de Raphaël Nomézine pour jeunesecrivains.fr
Tranquillement, au gré de mes envies du moment, je poursuis mes pérégrinations parmi les gratuits de L’Ivre-Book, éditeur numérique, afin d’y découvrir de nouveaux auteurs prometteurs.
Et je suis donc allé à la rencontre de la très belle plume de ma « consoeur » de la collection « Contemporia », Charlotte Boyer, et de sa nouvelle « Soleil paradisiaque ».
Elle nous y brosse par petites touches savamment dosées le portrait de nos contemporains, des passants que nous pourrions nous aussi croiser au détour d’une rue ou de transports en commun. Ces passants sur lesquels notre regard glisse sans les voir ou s’accroche sans raison apparente. Pourquoi eux plutôt que d’autres, me direz-vous? Simplement parce que ces personnes paraissent moins anodines que les autres, parce qu’un « rayon de soleil » entre-aperçu peut illuminer votre vie d’un simple battement de cils.
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Une critique de Mina sur Les lectures de Mina, août 2011
Après avoir lu « Adrien Poche », j’ai voulu retenter l’aventure avec Charlotte Boyer et lui ai commandé ce recueil de nouvelles, que j’ai obtenu dédicacé en prime ! (^-^)
L’écriture de Charlotte Boyer est simple et agréable ; ses nouvelles sont courtes, trop courtes même mais les idées passent bien, elle sait choisir ses mots et poser un décor en peu de pages. Néanmoins, je pense que la réflection mériterait d’être poussée davantage et les nouvelles gagneraient à être un peu plus longues.
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Une critique de Mina sur Les lectures de Mina, juillet 2011
Je tiens à remercier Charlotte Boyer qui a pris contact avec moi via ce blog afin de me faire découvrir une de ses nouvelles, « Adrien Poche », qu’elle m’a présentée comme une nouvelle policière et humoristique. C’est le format ebook qu’elle m’a proposé, une première pour moi car je n’ai pas l’habitude de me passer du papier.
L’écriture de Charlotte Boyer est agréable, efficace je dirais au vu du format court qu’est la nouvelle. Pas de ‘chichi’, juste ce qu’il faut pour nous offrir une intrigue cohérente et des personnage suffisamment développés.
Rien à voir mais j’avoue être gênée par la lecture sur l’ordinateur, le manque de pages à tourner m’enlève ce petit quelque chose qui fait qu’on prend plaisir à avoir un livre dans les mains et à découvrir l’histoire au fil des pages… ma bibliothèque n’est pas prête de se vider ! lol
Nous rencontrons Adrien Poche alors qu’il s’apprête à prendre des vacances forcées. Il semblerait que dans le ‘commissariat’ où il travaille, personne ne daigne le prendre au sérieux dans son métier et il se contente de faire la circulation… Enfin il ne s’en contente pas vraiment mais son manque de prestance l’empêche de défendre ses arguments. Célibataire endurci, il s’évade dans des romans policiers et se laisse souvent désarçonner par le monde qui l’entoure. C’est le genre de personnage qu’on a envie de prendre sous son aile… (ou de secouer pour qu’il se réveille !)
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Une critique de Jean Paule Degache sur son blog de soutien, juillet 2011
Petit à petit, Charlotte Boyer glisse vers le roman mais Adrien Poche est encore qualifié de nouvelle parce que l’histoire est courte. C’est vite lu, vite dégusté et c’est un régal qui peut s’apprécier une, voire plusieurs fois.
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Une critique de Pénélope sur son blog ©Pénélope bouquin, juin 2011
Adrien Poche est un agent de police affecté à la circulation, mais son rêve est de devenir inspecteur.
Après une énième bévue, son chef lui impose un mois de vacances et lui suggère fortement de se rendre en Californie, brochure à l’appui.
Adrien Poche s’envole ainsi pour Glen Allen où il s’installe dans la chambre 13 du Motel Jack London Lodge.
Le séjour d’Adrien se révèle vite plus mouvementé que prévu puisqu’une jeune femme sans vie est retrouvée sur les lieux….
Adrien Poche est une nouvelle policière humoristique de Charlotte Boyer, une jeune écrivain de 23 ans.
Le personnage principal de l’agent de police Adrien Poche est le point fort de cette nouvelle.
Gaffeur, maladroit[…][Lire la suite…]
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Une critique de Laura Kita Kejuo (écrivain et traductrice au Brésil) sur son blog ©L’auteur dans tous ses états, juin 2011
Eh bien, que dire… J’ai passé un très agréable moment en suivant les aventures d’Adrien Poche! Un peu court, peut-être (mais c’est sans doute le but, la nouvelle évite en principe que l’on s’attache aux personnages et au contexte), un autre épisode serait le bienvenu et je suis partante!
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Une critique de Virginie Normand (Lectrice), mai 2011
Charlotte que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam, m’a contacté il y a peu de temps afin que je fasse la lecture de son livre Adrien Poche. Emballée par la découverte du sujet, je me suis plongée dedans.
Je la remercie chaleureusement également pour avoir pris le temps de répondre à la dizaine de questions que je lui ai posée.
Rendez-vous https://www.charlotteboyer.fr pour en savoir plus sur cette jeune auteure en devenir.
Adrien n’est pas très doué voire carrément gauche. Il travaille à la circulation et c’est pas l’éclate! Il a un rêve, celui de devenir inspecteur de police.
Il n’a jamais été aussi prés du but depuis que son patron lui a ordonné le repos. Il l’envoie aux Etats-Unis en Californie dans une bourgade chic; Glen Ellen.
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Une critique de Charlie Bregman (écrivain), avril 2011
« Charlotte Boyer, c’est dans la poche ! »
C’est bien simple : j’ai toujours rêvé être une femme.
Je sais que ça peut faire cliché, mais quand j’étais petit, je harcelais déjà ma mère pour qu’elle m’achète des robes. Elle ne m’en a jamais achetées, d’ailleurs. Une voisine lui avait formellement déconseillé, sans doute parce qu’un mari qui quitte sa femme pour partir avec sa fille, ça s’est déjà vu. Du coup, un mercredi après-midi — je me souviens très bien parce que c’était le jour où le réparateur télé nous avait privé de Dorothée, Jacky et Corbier —, comme j’avais réussi à m’emparer discrètement d’une paire de ciseaux abandonnés avec provocation sur une table à la hauteur de mes yeux, je pus me fabriquer directement ma tenue manquante dans le tissu de la plus jolie jupe de ma mère.
Qu’est-ce que j’étais belle, dans le miroir ! Sans mentir, de tous les royaumes, on n’aurait difficilement trouvé princesse plus jolie.
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Une critique de Terhi Schram (écrivain), mars 2011
« C’EST DANS LA POCHE ! »
Charlotte Boyer s’est lancé un défi, celui d’écrire une comédie policière.
Alors, sous la houlette d’Adrien Poche, policier gaffeur à la circulation, elle relate les vacances de ce dernier en Californie.
Autant préciser d’emblée que les vacances de notre Adrien ne vont pas être de tout repos.
Si certaines scènes ne sont pas sans rappeler l’inimitable Hercule Poirot, loin de Charlotte Boyer l’idée de copier/coller un livre qu’elle aurait lu. Et même si le style s’éloigne de ses premiers bouquins, l’on ne saurait ignorer qu’il reste propre à l’auteure.
Un meurtre est commis dans l’hôtel où descend Adrien Poche. L’occasion pour lui de l’élucider à la manière de ses favoris de séries télé. Mais l’on n’oserait s’imaginer le voir rivaliser avec l’énigmatique Emma Ferguson, inspecteur de son état.
Nous voilà donc en plein cœur d’une enquête dont Adrien s’efforce de garder le fil rouge.
Le héros ou, plutôt, anti-héros, est attachant et rappelle le quidam que l’on a pu croiser aujourd’hui dans la rue. Il reste simple et ne cherche pas à se faire valoir, et les méprises quant à son nom tombent toujours à pic.
Les autres personnages, tout aussi naturels, auraient malgré tout eu de quoi être étoffés car il y avait visiblement matière à approfondir.
Les descriptions établies de l’hôtel ont l’avantage de poser le lecteur au cœur même du décor, et malgré un ensemble fluide et compréhensible, l’on notera toutefois quelques descriptions rapides et autres passages peu clairs.
Le récit a cependant le mérite d’avoir une fin et l’on regrettera qu’il ne s’agisse que d’une nouvelle. Peut-être un deuxième volet… ? En tout cas, pour Charlotte Boyer, c’est dans la poche !
Par Terhi Schram.
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Une critique de Laura Kita Kejuo (écrivain et traductrice au Brésil) sur son blog ©L’auteur dans tous ses états, mai 2009
Charlotte Boyer a publié son premier recueil de nouvelles, A Jamais et de Tout Temps, aux Editions Amalthée, en octobre 2008.
On se laisse agréablement surprendre par ce recueil de quatre nouvelles de Charlotte Boyer – doté d’un poème en prime -, mêlant désespoir, passion, vibrations candides et perfidie.
Tandis que la nouvelle A Toi de Voir nous plonge dans un univers de solitude, du temps qui traîne et de sensation de vide que nous laisse l’absence de l’autre, Soleil Paradisiaque invoque la fascination; Pour Cette Fois apporte la touche magique et guillerette propre au conte. Déjà Vu clôt le recueil avec cruauté et un brin de sadisme.
Un poème, A Jamais et de Tout Temps, écrit en juin 2005, exposé en fin de recueil et lui léguant son nom, pour conclure en beauté.
Des nouvelles aux teintes et aux tons changeants. Pas de quoi s’ennuyer.
On se surprend à vouloir en découvrir plus sur l’univers et les écrits de ce jeune auteur. Mais mieux vaut sans doute faire court et laisser le lecteur sur une bonne impression.
Charlotte Boyer, qui avoue avoir toujours écrit et été plongée dans le cocon romanesque et poétique, signe son premier chef-d’œuvre publié. Et on ne lui souhaite qu’une chose : que sa plume continue à nous enchanter, à jamais et de tout temps.
Par Laura Kita Kejuo.
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Une critique de Morgane Denche (lectrice)
À la suite de son 1er recueil de nouvelles A Jamais et de Tout Temps, aux Éditions Amalthée en octobre 2008, qui nous laissaient pantelants par tant de sentiments différents, Charlotte Boyer publie son deuxième ouvrage intitulé Trois Cents Secondes en autoédition.
Trois Cents Secondes, la première nouvelle qui a donné son nom au recueil commence par la magie d’une rencontre improbable; nous basculons ensuite dans un univers sombre et mélancolique entre abandon et peur avec C’est pour moi et Petite mort. L’Ange et la Chanceuse tout comme La révolte du plastique et La libération nous plongent dans un univers semblable à des contes entre comédie, espoir et envie. Le passage traduit la désillusion du dix-huitième anniversaire et Celui qui transmet de la pitié envers les faux semblants et la solitude. Mémoire vive conclu parfaitement ce recueil en y ajoutant, malgré la mélancolie et la tristesse du début, la joie et le bonheur de retrouver l’être cher à son cœur.
Pour résumer et à l’instar de son premier recueil, nous avons là des nouvelles aux couleurs variées qui captivent tous nos sens, mélangeant habilement les sentiments entre amour, désillusion et espoir. Un recueil si envoûtant qu’on se laisse emporter au fil des nouvelles avec entrain. Un second recueil comportant cette fois neuf nouvelles plus déroutantes les unes que les autres et avec ce brin de noirceur laissant le lecteur un peu désorienté mais avec une envie d’en vouloir toujours plus.
Après avoir découvert À jamais et de tout temps, Charlotte Boyer offre, avec ce second ouvrage, tout son talent au lecteur qui devra prendre plus de trois cents secondes pour apprécier à sa juste valeur ce nouveau chef-d’œuvre.
Par Morgane Denche.
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